Tomislav Dretar : Sublimisme poétique venant des Balkans, c'est quoi ?

Publié le par Thomas Dretart

Tomislav le beau aux cheveux longues

Tomislav Dretar

Sublimisme poétique venant des Balkans, c'est quoi ?

Sublimisme est un terme qui provient de la Bhagavad-Gita, mais depuis qu’il a été utilisé par les autres penseurs[1] vient Edmund Burke et écrit au sujet du Sublime et du Beau. Mais là il s'agit de substantif adjectival. J'ai entamé l'interprétation de la poésie à partir des mots en rôle de suprême principe architectural de la poésie et je suis venu à la sublimation dont le fait est reconnu par les chimistes, météorologues, les psychanalystes..., donc, j’introduis une idée de poésie où la réflexion sous-entend les expériences de tout le savoir humaine philosophiquement valable, sinon interdisciplinaire. Une saute, qualitative, où iode de l'état solide de poussière cristalline se transforme en gaz lorsqu'il est suffisamment chauffé où le réchauffement donne coup de transformation d’une autre possibilité de matériau de base à transcender soi-même en un nouveau sens significatif – évoquant le rôle de poète dans la création de la poésie, pousse le philosophe de voir la poésie en tant que un jeu de mots. Plus simple, le poète prend la « chose » et la transforme en mot puis le mot continue son travail. Le mystère de création déménage de l’obscure métaphysique à la réalité d’un nouveau univers, ce de la poésie. Poésie n’a plus besoin de n’importe quel dieu pour s’ouvrir au monde. Elle n’agit plus en agent de Dieu, elle ouvre la porte de son propre mystère et là – un monde immense s’agit, un monde des paroles aux sens et signification inépuisable en tant qu’il est une ontologie. Comme ça la parole prend en soi toutes ses capacités précédemment assignés aux dieux. Par cet approche la parole poétique se doit référencier à elle-même et à elle seule en repoussant ses adversaires – le barbarisme, la banalité et tout une palette de contraries déshumanisé. La poésie du sublimisme s’ouvre vers l’horizon de l’humanisme, où elle vit et vers la transformation du temps en se lui donnant en un seul noyau rationnel de la vie humaine[2]. De la manière les poètes créent une nouvelle homériade[3] où la parole est un seul dieu créateur des poèmes.  Nouvelle homériade ne monte pas les vertus humaines au ciel, elle les trouve dans la parole par qui commence l’aventure culturelle soit le être humain devient l’homme par l’agissement de la parole qui va le mettre au poste de l’être créatif. Dans ce cas les poètes élus sont de nouveaux rhapsodes propageant nouvel histoire du monde d’ici-bas.  J'ajoute, les poètes à partir de guerre et de son choc post-traumatique, ne tombent pas encore plus profondément dans un état de la haine ou de vengeance, mais arrivent au but sublimé en poésie en créant un être esthétique, le Beau lequel n’est plus de la même essence. C'est une nouvelle façon de voir et produire les choses esthétique, d’animer lectures de poésie. La Raison agit en premier lieu en principe filtrant et arrangeant, jusqu'ici exclue par les certains interprétations tout en partant à l’encontre de la poésie comme si elle est un miroir de l'âme. Il est nécessaire d'appliquer le principe ultime - le principe de l'ontologie de l’inépuisable (Luigi Pareyson). Dans le fait où la raison ouvre la porte de sentiment et  lui fraie le chemin, le guidant vers la catharsis et ce qui ne veut pas dire que c'est un arrangement géométrique ou une séquence temporelle, mais qu’on peut commencer avec des sensations, à la condition de l'âme, mais la pré-citation est ce qui leur permet que la poésie serait formée comme sa propre vérité grâce au principe rationnel.  Étant donné que la poésie est un jeu de mots, ses significations, en tous ses pouvoirs,  tout en ayant et tout en étant une forme en guise de son propre être à elle. Par cette raison son être ne peut pas être un langage car langage vise un objectif extérieur et étrange à lui-même. N’importe quel mot peut être le début, mais non pas l’objectif final de la poésie et c’est qui est sa propre forme. Plus précisément premier mot fait l'appel aux autres mots d’entrer en jeu que poète joue jusqu’à où les mots qui viennent bâtir, chorégraphier leur propre danse vivant en forme à venir.  Seulement les certains poète les portent ou recèpent dans leur oreille seul puissant à les entendre comme ils l'espèrent, leur offrir un rythme, la musicalité, de véritables pouvoirs formatifs et inimaginables capacités, pour toujours et à jamais inépuisable. Les auteurs ont reçu un cadeau les Paroles. Les paroles, même si elles sont à venir sur, comme nous l'avons déjà indiqué, en particulier, se rangent selon certaines règles pour autant de possibilités qu’un génie poétique est capable de les entendre, de sentir comme une opportunité de construire un jeu, jusque-là invisible et non jouées, ce qui est, répétons-en, toujours et pour toujours, même si rien ni personne ne connaissent la réponse qu’est-ce que la poésie. Dès que vous touchez votre sens poétique, l'audition ouvre vos sens et votre raison.

Une école de la poésie transcende l'autre en lui retirant le socle, parce que l'avenir était le but imminent, maintenant, devenue un moyen à regarder, observer des choses à un niveau supérieur d’une nouvelle manière. Il est par ailleurs sorti de la mode, flétri, avec son humanisme porté à un niveau plus élevé d'alphabétisation, sa langue, y compris un accru parlant à de plus hauts sommets de sa valeur. Une fois créée les poétiques des œuvres poétiques deviennent des unités éternelles. L'éternité est sa nature et sa destinée. Dedans de la poésie n’y a pas de combats, Polemos n’est pas la vraie nature de poésie si ce n’était pas son élément bâtissant. Elle est juste une possibilité qu'un séjour prolongé sur la scène jusqu'à l'épuisement de sa forme papier. Aska[4] ne finit vraiment jamais son jeu devant le loup. Loup peut jouer avis. Poésie insiste le match. Cela ne veut pas se retrouver dans l'avis de sa mort, quand il semble que toutes les possibilités sont épuisées pour le logos qui ont choisi leur vérité reste la Croix. Pensé qu'il y va mourir crucifiée, mais le mot est porté à une nouvelle vie, ressuscité. Le jeu poursuit.

Poésie de sublimisme[5] donnant une compréhension excluant des idéales statiques provenant de l’école Platonienne et Aristotelienne, qui a été créé par l'école hellénique de la philosophie, parce que l'idéal classique de bonne entendu où la vérité arrête historicité de la poésie. Par conséquent, il a été réclamé et prétend encore qu’il n’y a pas de l'art, donc de poésie non plus qui possède son histoire, son évolution. Bien au contraire, si on nous montre une installation d'art visuelle contemporain de peinture, de performance … dans lequel difficilement on peut trouver quelque chose dit beau, de sorte qu'il on lui ne reconnaîtra pas un tels actes en la valeur artistique. Mais la nouvelle rationalité a des arguments pour montrer qu'elle est esthétique comme l'essence de cette manière a créé une œuvre d'art. Il y a aussi des poèmes écrits par comme l'installation de mots et de lignes dans l'espace et le temps. Et il arrive à une forme d'art qui est l'arbitre final. Est-il à mettre en valeur  une seule image de Botticelli avec une salle remplie par différents objets disposés par l’auteur en forme d’un œuvre artistique ou le travail multimédia de l'art, nous pouvons voir qu'il y a là deux formes qui ont une seule chose en commun - la forme où la forme et les autres éléments sont si éloignées qu’ils  s'annulent selon le savoir d’interprétation d’autrefois, et pourtant ils lui ne peuvent pas enlever le mot «l’art» . Le point est que l'idéal du Beau a évolué, dans le sens de l'art nouveau à introduire une gamme de nouvelles connaissances qui auraient dû avoir au moment d'émerveillement et d'adoration de l'art Renaissance. En d'autres termes la réflexion ou le rationalisme et la rationalité ont changé.

Par là le temps est entré dans l'historicité de l'art. La vérité que la nouvelle poésie apporte n'est pas statique, elle utilise les mêmes fondements ainsi que l'art classique, la même source, la vie, mais demande que la forme soit en mouvement et en ne arrêtant pas leurs mouvements. Tout y est à faire dans la future de nouveautés des arts. Jusqu'à présent, il y avait beaucoup de travail dans l’ombre, d’inconnu et non-comprise, d’art nouveau, et donc notre, par-là multiple projection du sublimisme en quête de multi-dimensions de la structure et de la forme, et en particulier leur dynamique y comprise.  Le mouvement des idées créatives à travers l'espace, temps, pensée, sentiment, en leur faisant le brassage dans le passage du temps vers l’éternité, dans le cas où un temps non catégorisé a des qualifications, catégories de la valeur. Et tout cela parce que son cap vers l'éternité ne se fige pas dans une dimension rejetable. Et cela n’a rien à voir avec la relativité de la vérité. C’est une dynamique de vérité.

Nous n’avons mentionné que les deux, sublimes et la sublimation, comme des composants de sublimisme dans l'art. Sublime on ne reconnaît pas comme une gloire plus classique de la divine et sainte, l’intouchable. Sublime est conçu en niveau propre aux humains, il se niche dans la parole et se inépuisables capacités. Par conséquent, pour une telle gloire, sublime comme telle est-il en sens premier met les lecteurs, téléspectateurs, auditeurs, interprètes et autres personnes qui entrent en contact avec l'œuvre d'art dans une position subalterne dans un produit qui n'a même pas le droit d’y mêler, son caractère de l'existence éphémère dans l'éternité (concept classique de bien) de l’idéal du Beau. Pour nous le sublime atteint le plus haut degré possible de la liberté, de jeu libre des forces humaines puisant l’élan de la parole. C’est disponibles pour les rares par la sublimation de sauter hors de leurs cadres de saute, sublimé en une substance nouvelle, un nouvel état physique - la vapeur d'eau un refroidissement rapide du sublime dans les flocons de neige dans les beaux l’état physique d’un solide. Cet acte, ce fait, un fait que le processus artistique fut un soulagement d'être dans une condition de sa libération par la sublimation dans un nouvel état, une nouvelle essence, l'être nouveau, qui est comme en elle-même une des nouvelles libertés fourni de nouvelles possibilités pour la création artistique. Aucune liberté n’a perdue pas une seule option. Comme la vapeur d'eau H2O avait composé une valeur unique ou un type de valeur, et à l'état solide obtient quelques nouvelles qui ne sont pas en état gazeux. Par contre, à ce niveau nouveau-sublimé en trouve de nouvelles possibilités d’interprétation, novelles significations.  

En un mot, l’ sublimisme est le processus de libération qui n'est limitée que par elle-même, impossible dans l'état antérieur. Il apporte aussi une rupture avec tout ce qui restreint l'art, sauf avec la liberté qui se transforme en un spiritus movens, un agent entre deux libertés. La liberté n'est pas infinie directes, elle implique des discontinuités, et ici, dans notre réflexion, les plus récentes découvertes mathématiques et physiques théoriques montrent à l'art les portes dans son être.

Nous ne voulons pas définir et donc non pas abolir la liberté, qui est point de départ de sublimisme, nous nous osons sortir à peine avoir touché les fondements de la connaissance et la compréhension de l’interprétation - la liberté n'est limitée que par lui-même.

Pour expliquer cela on a encore besoin de beaucoup d'espace, car nous nous avons osé sortir qu’avec un première traité philosophique sur ces fondements, la matrice de la poésie - la parole. À la fin de nos travaux seront présentés avec un traité plus approfondie constitué de 5 à 6 traités au total.

Pour formuler les considérations fondamentales, parce que le sublimisme est une nouvelle ère où nous ne voyons pas la fin, et d’autre part de mentionner seulement que l'esthétique de l'époque d'Aristote a duré pendant des millénaires jusqu'à où elle a été arrondie. Le sublimisme, ce qui attend de lui n'est pas la poésie dictée, pas un acte  néo-politique pour mettre à bas une époque dépassé, mais faire monter la poésie et des autres arts dans une étape de sublimation plus sublime à la sublimité nouvelle.

Deuxièmement, les mots, le sublimisme a son hydrographie, il y a un cours, le courant qui réunit l’ensemble, le courant idéologique est fondamentalement énoncée dans ce texte, mais non pas celui qui n'impose aucune autre obligation, personne n’est éjectée de cours et reçoit tous les affluents de la pente menant à la Patrimoine de sublimisme. Et sur un plan général et dans les langues nationales, mais cela ne signifie pas que n’importe quoi peut être placés sous le bouchon du sublimisme, qu’il n’y a qu’un seul un qui n’y est pas n’importe quoi. La banalité n’est pas à sa place dans l'sublimisme. Le sublimisme en tante que la base de la libération des paroles ne peut être limitée que par la liberté qui transcende le présent et dans les zones plus noble de la liberté. La liberté qui est seule à limiter l’autre liberté. Tout cela indique que la porte est ouverte à tous et que je fais seulement un chemin étroit aux poètes et aux philosophes de ses œuvres, ses réflexions sur une route pourtant si large et qui va marcher vers la liberté des arts par le sublimisme nouveau et libertaire.

Drogenbos, le 7 décembre 2011



[1] Ancient philosophy The Bhagavad Gita, written c. 1200 BCE, talks about the sublime mystery in the ninth teaching of Krishna. The first known study of the sublime is ascribed to Longinus: Perry Hupsous/ Hypsous or On the Sublime. This is thought to have been written in the 1st century AD though its origin and authorship are uncertain. For Longinus, the sublime is an adjective that describes great, elevated, or lofty thought or language, particularly in the context of rhetoric. As such, the sublime inspires awe and veneration, with greater persuasive powers. Longinus’ treatise is also notable for referencing not just Greek writers such as Homer but also biblical sources such as Genesis. This treatise was rediscovered in the 16th century, and Nicolas Boileau-Despréaux usually attributes its subsequent impact on aesthetics to its translation into French in 1674. Later John Pultney in 1680, Leonard Welsted in 1712, and William Smith translated the treatise into English in 1739 whose translation had its fifth edition in 1800.

 

[2] Marjan Hajnal – Horizonti humanizma i transformacija vremena, Thèse défendu à l’Université de Belgrad 1993

[3] Un nouveau terme pour designer nouvelle étape dans la compréhension de la poésie.

[4] Le nom d’un agneau qui dansait devant le loup pour sauver sa vie, dans une nouvelle d’Ivo Andrić, l’écrivain d’origine Croate de Bosnie.

[5] Un mouvement contemporain apparu dans les pays des Balkans dont les caractéristiques nous essayons présenter dans ce court texte. 

Publié dans Esthétique

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