Tomislav Dretar: Bush pred licem pravde - Cowboy très mechant à la merci de la justuce

Publié le par Thomas Dretart

 Bush pred licem pravde - Cowboy très mechant à la merci de la justuce

Action : le Canada doit arrêter et enquêter sur l'ancien président américain George W. Bush

Des actes de torture (et d’autres traitements cruels, inhumains ou dégradants ainsi que des disparitions forcées) ont été perpétrés sur des détenus d’un programme de détention secret mené par la Central Intelligence Agency (la CIA) entre 2002 et 2009.

La CIA a mis sur pied ce programme secret avec l’autorisation de M. Bush, alors président.

Depuis qu’il a cessé d’occuper ses fonctions de président, M. Bush a affirmé avoir autorisé l’utilisation de «techniques d'interrogatoire renforcées» auprès de détenus du programme secret de la CIA. Plus particulièrement, l’ancien président a avoué avoir autorisé la «simulation de noyade»; l’utilisation de cette méthode de torture à été confirmée.

De plus, la torture et autres mauvais traitements ainsi que les détentions secrètes des forces américaines ont été utilisées dans le cadre du programme de détention secret de la CIA, y compris contre des détenus militaires de la base navale américaine de la baie de Guantánamo à Cuba et dans le contexte des conflits armés en Irak et en Afghanistan.

 



 

George W. Bush était commandant en chef des toutes les forces armées américaines durant la période concernée. L’administration de George W. Bush a agi comme si elle n’était pas liée par les lois américaines ou internationales au moment de répondre aux attaques du 11 septembre 2001. Entre autres, le président Bush a décidé que les protections garanties par les Conventions de Genève de 1949, y compris l’article 3 qu’elles ont en commun, ne s’appliqueraient pas aux détenus talibans ou du groupe Al-Qaïda.

George W. Bush, commandant en chef durant la période concernée, s’il n’a pas ordonné ou autorisé directement de tels crimes, savait ou avait des raisons de croire, que les forces armées américaines étaient sur le point de commettre ou commettaient de tels crimes, et M. Bush n’a pas pris toutes les mesures raisonnables nécessaires en son pouvoir à titre de commandant en chef et président pour empêcher que ces actes soient perpétrés ou, si les crimes avaient déjà été commis, pour s’assurer que les soi-disant responsables soient traduits en justice.

Les États-Unis n’ont pas réussi à mener d’enquêtes aptes à atteindre l’ancien président George W. Bush et tout indique qu’ils ne le feront pas, à tout le moins, pas dans un avenir proche.

Les faits résumés ci-dessus, qui relèvent du domaine public, suffisent à obliger le Canada, en vertu du droit international (y compris mais sans exclure d'autres motifs la Convention contre la torture des Nations unies), si l’ancien président George W. Bush entre sur le territoire canadien, à:

- Amorcer une enquête criminelle;
- Arrêter l’ancien président Bush ou encore, à assurer sa présence durant l’enquête;
- Soumettre l’affaire aux autorités compétentes du Canada à des fins de poursuites s’il ne l’extrade pas vers un autre état apte et disposé à le faire.

Signez le courrier destiné à Monsieur Robert Nicholson, Ministre de la Justice Canadien, lui demandant d'arrêter et d'enquêter sur l'ancien président américain George W. Bush.

Publié dans Poésie du monde

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